Merde. Aujourd’hui, je vais vous causer de ma pomme pour
changer. Pas franchement le goût d’essayer de placer un bon mot ou de faire
dans l’historique bon teint.
Les Beastie Boys représentent à mes yeux, un groupe majeur.
L’expression est galvaudée mais elle convient à merveille pour ce groupe. Les B.BOYS ont changé la face de la musique
pour toute une génération.
Oui les rockeurs comme les rappeurs se sont appropriés à un moment leur univers foutraque et loufoque. Ça va même plus loin, puisque c’est tout un public qui a plongé dans le bain bouillonnant des Beastie.
Oui ils ont changés la face du music business en proposant du spectacle haut en couleurs sur des morceaux catchy qui ont finis par accrocher tous les cortex.
Tout le monde ou presque (dans la tranche des 25- 45 ans) connaît le parcours du trio ; gamins intelligents bien élevés, bourgeois qui décident de mettre le bordel et de s’amuser pour le plaisir de faire plaisir. Le seul faux pas, sera le plantage de leur label Grand Royal. Music is Business.
Oui les rockeurs comme les rappeurs se sont appropriés à un moment leur univers foutraque et loufoque. Ça va même plus loin, puisque c’est tout un public qui a plongé dans le bain bouillonnant des Beastie.
Oui ils ont changés la face du music business en proposant du spectacle haut en couleurs sur des morceaux catchy qui ont finis par accrocher tous les cortex.
Tout le monde ou presque (dans la tranche des 25- 45 ans) connaît le parcours du trio ; gamins intelligents bien élevés, bourgeois qui décident de mettre le bordel et de s’amuser pour le plaisir de faire plaisir. Le seul faux pas, sera le plantage de leur label Grand Royal. Music is Business.
Pour moi, l’aventure des Beastie Boys démarrent à la fin des
années 80 lorsque je découvre le Fight for your Right sur une compilation K7.
Ouaip, un truc d’étudiant qui consistait à se faire des compilations et les
échanger entre amateurs de musique… américaine bien sûr. Cobain devait encore
porter les amplis pour les Melvins à ce moment-là. Sur cette compilation, il y’a en vrac Art Blakey, un Zappa, 2 Sonic Youth, un Black Flag, un
DYS, un Bauhaus, 2 Suicidal Tendencies, un
Ministry et "Fight for Your Right". Bon sang, il me faut tous ces albums… (C’est
fait depuis, merci)
En 2011, les Beastie Boys sont revenus sur le devant de la
scène avec un Hot Sauce Committee Part II d’excellente tenue… à l’instar de l’ensemble
de leur discographie. Ce sera la marque
de fabrique du groupe. Une excellente qualité dans les compos, des thèmes
abordés avec humour et intelligence cf l’après 11 septembre abordé sur leur
splendide To the 5 Boroughs. Toute une carrière à se marrer sérieusement, ça
laisse rêveur.
Les Beastie Boys font partie, avec une poignée d’autres, qui
m’ont donnés vraiment envie d’aller plus loin dans les découvertes musicales…
pour des genres qui m’étaient inconnus. Un groupe qui m’a donné envie de
comprendre l’anglais. Un groupe inspirant qui a donné une certaine noblesse à
la liberté de chercher… (ben y’avait pas que la Niou Ouaive ou le Punk dans les
années 80).
En mémoire à Adam Yauch (5 août 1964 – 4 mai 2012)
Discographie Sélective :
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