Aujourd’hui, c’est « Classic » !
Prenons le temps pour nous arrêter sur un album majeur du –toujours
rieur – monde du Rock. D’autant plus que pour l’œuvre en question, le terme –
Majeur- est loin d’être usurpé.
Machine Head est le sixième album du groupe en 4 ans d’existence.
Un bon rythme pour l’époque. Il vient
dans l’ordre après un massif In Rocks et un plus psyché Fireball.
L’histoire de la réalisation de ce disque est archi-connue, elle figure sur toutes les tablettes depuis 40 ans maintenant ; l’album sort en mars 1972. Montreux, un concert de Zappa, un casino qui crame, un enregistrement dans la salle de réception d’un hôtel. Tun tun tun, tun tun tuntun, tun tun tun, tun tun … devient le riff le plus joué au monde… la cire se vend à 49 millions d’exemplaires dans le monde, succès colossal qui positionne le groupe juste derrière Thriller et Dark Side of the Moon, dans l’über-Top des ventes mondiales et… souvent c’est là que s’arrête l’histoire.
L’histoire de la réalisation de ce disque est archi-connue, elle figure sur toutes les tablettes depuis 40 ans maintenant ; l’album sort en mars 1972. Montreux, un concert de Zappa, un casino qui crame, un enregistrement dans la salle de réception d’un hôtel. Tun tun tun, tun tun tuntun, tun tun tun, tun tun … devient le riff le plus joué au monde… la cire se vend à 49 millions d’exemplaires dans le monde, succès colossal qui positionne le groupe juste derrière Thriller et Dark Side of the Moon, dans l’über-Top des ventes mondiales et… souvent c’est là que s’arrête l’histoire.
Sur Machine Head, on retrouve un titre comme « Lazy »,
une composition étrange assez inclassable qui porte sur une structure que l’on
retrouvera tant chez les Melvins par exemple pour le titre « They all must
be Slaughtered » sur leur album Honky – qui sort 25 ans plus tard en 1997 ;
que dans les progressions chez Neurosis ou même chez certains postulants –post-.
« Lazy » démarre sur un solo de Jon Lord avant que les autres
instruments viennent littéralement se greffer. Un processus archi-couru de nos
jours.
"Space Truckin' live in California 1974
On retrouve le costaud « Highway Star » endiablé,
ça joue vite m’sieurs-dames, le terminus quant à lui est assuré par l’ultime « Space
truckin’ »… rien que pour ces trois titres cités, l’album est majeur,
ultime et historique. Les blueseries
développées dans « Never Before » et « Maybe I’m a Leo »
souvent mésestimés bonifient au fil des écoutes.
De G à D: Jon Lord (Claviers), Roger Glover (Basse), Ian Paice (Batterie), Ian Gillian (Chant), Ritchie Blackmore (Guitare)
Machine Head bénéficie d’une réédition fiscale de haute
tenue pour les fans frétillants et plus drôle (sic) d’un tribute malheureux
comme toujours – Carlos Santana, Chickenfoot, Steve Vai,… où finalement seul
Iron Maiden tient la dragée haute.
Tracklist :
Highway Star – Maybe, I’m a Leo – Pictures of Home – Never Before –Smoke of the
water – Lazy – Space Truckin’
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